A la découverte de Budapest et de la Hongrie dans toutes leurs variétés !
18 Avril 2016
Durant la Seconde Guerre Mondiale, la Résistance à l'occupant nazi fut l’œuvre de nombreux hommes et femmes, parfois ne se battant pas dans leur pays d'origine. C'est le cas en France des FTP-MOI (Francs-tireurs et Partisans - Main d’œuvre immigré) et en particuliers du groupe Manouchian.
Ceux qui seront connus comme les fusillés du Mont-Valérien comparaissent à Paris devant une cour martiale allemande du 15 au 18 février 1944. ils forment l'équipe d'intervention d'un groupe de 68 francs-tireurs et partisans de la MOI incarcérés depuis 3 mois et torturés de manière quotidienne. Le 21 février au matin le verdict tombe et ils seront tous fusillés dans la journée à l'exception de Olga Bancic, une Moldave et seule femme, qui sera décapitée en Allemagne quelques mois plus tard.
Des 10 fusillés présent sur l'affiche se trouve 2 hongrois : József Boczor, un ingénieur chimiste juif Hongrois communiste, et Tamás Elek, un Hongrois, communiste ayant grandi en France.